La Lettre Santé-Environnement Rhône-Alpes N°24 - Mars 2013

 

Actualités

Pesticides dans les aliments : pas de risques selon l'Efsa
L'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a publié en février dernier son dernier rapport sur les résidus de pesticides dans l'alimentation. Ainsi, pour l'année 2010, 97,2% des échantillons testés présentent des taux de résidus se situant dans les limites européennes légales (limites maximales de résidus, LMR). L'exposition alimentaire à ces résidus ne présente pas de risque à long terme pour la santé des consommateurs, estime l'Efsa, qui exclut également les risques à court terme dans 99,6% des cas. L'Agence précise que "cette conclusion est fondée sur le scénario le plus pessimiste, avec l'hypothèse de consommation de la portion la plus importante d'un type d'aliment contenant le taux le plus élevé mesuré pour chaque pesticide". L'association Générations futures fait une autre lecture de ces résultats : "La contamination des aliments reste à un haut niveau, avec 65% des fruits et 39% des légumes contenant des résidus en moyenne en Europe".
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La pollution routière en cause dans l’asthme de l’enfant
La pollution occasionnée par les routes à grande circulation (plus de 10 000 véhicules/jour) est particulièrement négative pour la santé, les taux de particules, et surtout de particules ultrafines, étant bien plus élevés que les niveaux urbains habituels. L’impact de la pollution générée par les axes routiers à fort trafic a été longtemps sous-estimé. Au-delà des décompensations aiguës, la pollution routière jouerait un rôle dans le développement et la progression de l’asthme. Le rôle de la pollution routière dans l’exacerbation des symptômes est connu depuis longtemps et son implication dans le développement de la maladie elle-même devient de plus en plus probante. Certaines incertitudes persistent comme de savoir si exclure l’enfant de cette exposition aux particules polluantes peut prévenir ou seulement retarder la survenue de l’asthme, ce qui serait déjà en soi un grand bénéfice pour l’enfant et sa famille. Une étude menée dans 10 villes européennes (APHEKOM) chez des enfants de 0 à 17 ans a analysé l’exposition à la pollution routière (dans un périmètre de moins de 75 mètres) à la fois sur la survenue de l’asthme et sur les épisodes aigus afin d’englober la progression de la maladie dans son ensemble. Elle rendrait compte de 14 % des cas d’asthme chez l’enfant ainsi que de 15 % des crises d’asthme et hospitalisations. Cette pollution doit être prise en compte même dans les villes où la pollution urbaine n’est pas très importante, car dans les dix villes analysées, en moyenne 31 % de la population vit à proximité d’un grand axe routier. La même approche a été utilisée pour étudier l’influence de la pollution routière sur la coronaropathie de l’adulte mais les liens avec le développement de la maladie chronique sont moins nets que pour l’asthme.
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Une nouvelle publication de l’InVS : Démarche générale de l'InVS face à une sollicitation locale en santé environnement
L’objectif de ce document est de proposer un schéma d’organisation générale des réponses apportées par l’Institut de veille sanitaire (InVS) aux sollicitations en santé environnement à une échelle locale. Cette démarche, fondée sur l’analyse d’un ensemble de documents (rapports scientifiques, guides méthodologiques…) et de situations vécues par l’Institut, a été schématisée sous forme d’un processus, suffisamment souple pour pouvoir faire face à l’ensemble des situations rencontrées et envisager l’ensemble des réponses pouvant être apportées. En préambule à l’exposé de la démarche, sont exposées les différentes méthodes et approches auxquelles il peut être fait appel au cours du processus.
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Constances, une étude sur les maladies du vieillissement et de l’environnement est lancée
Une étude épidémiologique sur 200 000 personnes âgées de 18 à 69 ans a été lancée début mars pour mieux comprendre les facteurs de risques liés aux maladies du veillissement ou de l’environnement comme la maladie d’Alzheimer, le diabète, les cancers, etc. Appelée Constances (Cohorte des consultants des centres d’examens de santé), l’enquête reposera sur des volontaires affiliés au régime général de la Sécurité sociale qui seront tirés au sort. Un examen de santé complet leur sera proposé au début de l’étude puis tous les cinq ans dans les centres de santé de la Sécurité sociale. Entre temps, ils seront régulièrement interrogés sur leur activité professionnelle, leur mode de vie (consommation d’alcool, tabagisme, activité physique, alimentation), leur sexualité, leur lieu d’habitation et de travail, leur exposition à des substances chimiques, à des antennes relais. L’étude sera conduite par des chercheurs de l’Inserm et de l’université de Versailles et sera financée en partie par la Cnamts pour les huit premières années. Les données seront anonymes. Elles permettront de constituer une base de données nationale et de disposer d’informations précieuses que l’on n’a pas aujourd’hui sur la vision, l’audition, la fonction respiratoire, l’obésité, etc.
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Un programme 2013 chargé pour l'Anses
L'Agence nationale de sécurité sanitaire, de l'environnement et du travail (Anses) a présenté mi mars son programme de travail pour l'année 2013. Articulé autour de "deux grands chantiers", la qualité de l'air et le renforcement des moyens de contrôle et de détection dans le domaine alimentaire, ce programme aborde de nombreux sujets environnementaux. L'année 2013 sera ainsi marquée par la publication de plusieurs avis et rapports très attendus touchant notamment à l'évaluation des risques liés aux expositions au bisphénol A (BPA), aux risques associés aux radiofréquences, à l'actualisation des expertises en matière de nanomatériaux et de santé ainsi qu'au lancement d’une étude sur l'impact sanitaire des particules fines.
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Un rapport historique du PNUE et de l'OMS étudie les effets pour l'homme de l'exposition aux perturbateurs endocriniens chimiques
Selon un nouveau rapport publié par le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), intitulé State of the Science of Endocrine Disrupting Chemicals,  de nombreuses substances chimiques synthétiques dont les effets perturbateurs sur le système endocrinien n'ont pas été testés pourraient avoir des conséquences non négligeables sur la santé. La santé dépend du bon fonctionnement du système endocrinien, qui régule la sécrétion d'hormones essentielles, par exemple, au métabolisme, à la croissance, au développement, au sommeil et à l'humeur. Certaines substances, connues sous le nom de perturbateurs endocriniens, peuvent perturber une ou plusieurs fonctions du système endocrinien et ainsi accroître le risque de survenue de problèmes de santé. Certains perturbateurs endocriniens sont naturels alors que d'autres, présents dans les pesticides, les appareils électroniques, les produits d'hygiène personnelle et les cosmétiques, sont synthétiques. Certains additifs alimentaires ou contaminants présents dans l'alimentation sont également susceptibles de perturber le système endocrinien. Cette étude du PNUE et de l'OMS, la plus complète à ce jour sur le sujet, met en lumière certains liens entre l'exposition aux perturbateurs endocriniens chimiques et plusieurs problèmes de santé : cryptorchidie (absence d'un ou des deux testicules dans le scrotum) chez le jeune garçon, cancer du sein chez la femme, cancer de la prostate, cancer de la thyroïde, troubles du développement du système nerveux et déficit de l'attention/d'une hyperactivité chez l'enfant.
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Fukushima : l'OMS publie une évaluation rassurante de l'impact sanitaire de la catastrophe
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a publié une évaluation exhaustive d'experts internationaux sur les risques pour la santé de la catastrophe survenue à la centrale nucléaire de Fukushima (Japon). « Les risques prévus sont faibles pour l'ensemble de la population à l'intérieur et à l'extérieur du Japon », estime l'OMS, précisant toutefois que le « risque estimé pour certains cancers a augmenté dans des catégories données de la population de la préfecture de Fukushima », et demande par conséquent que ces personnes fassent « à long terme l'objet d'un suivi continu et de contrôles de leur état de santé ». Ce rapport confirme les grandes lignes du précédent rapport sur l'évaluation préliminaire des doses de radiation reçues par les populations suite à la catastrophe de Fukushima, publié par l'OMS en mai 2012. Ce document indiquait que les doses reçues par les populations sont faibles et en-deçà des normes admises. Ainsi, pour les personnes situées dans la zone la plus contaminée, l'augmentation des risques estimés par rapport à ce qui serait normalement attendu est de 70% au maximum pour le cancer de la thyroïde, chez les nourrissons de sexe féminin. Il s'agit là du « risque le plus important », selon l'OMS. Concernant les travailleurs, l'OMS estime que, parmi les travailleurs d'urgence de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, il y a « une augmentation des risques vie entière pour la leucémie, le cancer de la thyroïde et l'ensemble des cancers solides par rapport aux taux de référence ». Les travailleurs concernés par ce risque majoré représentent environ un tiers du total des personnels intervenus sur le site. Ce rapport ne satisfait cependant ni les autorités japonaises, ni les défenseurs de l'environnement. Du côté du gouvernement japonais, la contestation porte sur le fait que « Ces calculs [faisant apparaitre un risque sanitaire] ont été basés sur l'hypothèse que les gens ont continué de vivre dans cette zone et de manger de la nourriture interdite », or « ce n'est pas le cas ». Côté ONG, Greenpeace juge au contraire que « le rapport sous-estime honteusement l'impact des premières radiations de la catastrophe de Fukushima sur les personnes présentes à l'intérieur de la zone d'évacuation d'un rayon de 20 kilomètres, et qui n'ont pas été capables de partir rapidement ».
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AGENDA

De l’hygiène publique au génie sanitaire et à la santé environnementale : et demain ?
EHESP
3 - 4 avril, Rennes
Informations et inscriptions

Environnement chimique, obésité, diabète : un constat pour une meilleure prévention
RES
4 avril, Paris
Informations et inscriptions

Qualité de l’air intérieur : pour une approche globale
Centre d’Etudes Techniques de l’Equipement (CETE Nord Picardie)
8 avril, Lille
Informations et inscriptions

Utilisation des eaux usées traitées et des eaux pluviales
Association Scientifique Européenne pour L’Eau et la Santé (ASEES)
10 -11 avril, Paris
Informations et inscriptions

Journée de l'Institut de veille sanitaire
11 avril, Paris
Informations et inscriptions

Conférence Internationale - Radon et Société : de la connaissance à l’action
IRSN
11 - 12 avril, Paris
Informations et inscriptions

Risques sanitaires liés à la pollution des milieux aériens et hydriques
Rencontres scientifiques ANSES
16 avril, Paris
Informations et inscriptions

Actualité santé-sécurité environnement : nouveaux risques, nouvelles responsabilités
Journées LAMY de l'actualité
16 avril, Paris
Informations
Inscriptions

Hygiène, la Santé et l’Environnement
Association Nationale des Techniques Sanitaires (ANTS)
22-24 mai, Bourges
Informations et inscriptions

International Symposium
Trace Elements in Avignon Bridging between New Advances and Public Health Issues

FESTEM
22 - 24 mai, Avignon
Informations et inscriptions

Conférence internationale
Des produits pharmaceutiques dans l’environnement : est-ce un problème ?

Ecole des hautes études en santé publique (EHESP)
3 - 4 juin, Nîmes
Informations et inscriptions

Au service de villes durables et responsables
92ème congrès de l'ASTEE
4-7 juin, Nantes
Informations et inscriptions

Congrès national de radioprotection
Société Française de Radioprotection
11 - 13 juin, Bordeaux
Informations et inscriptions

Modélisation de la dispersion atmosphérique de composés dangereux à l'échelle locale et gestion de l’urgence
2ème séminaire international, Ineris
13 juin, Paris
Informations et inscriptions

Eurocancer 2013
Session "Environnement et cancer"Eurocancer
25-26 juin, Paris
Informations et inscriptions

Dynamiques urbaines et enjeux sanitaires : concepts, méthodes et interventions
Conseil International pour la science (ICSU) ; Laboratoire Espace, Santé et Territoires de l'Université Paris Ouest ; Association nationale « Elus, Santé Publique & Territoires»
11 - 13 septembre, Nanterre
Informations et inscriptions

Santé publique et environnements de vie, transport-mobilité,déplacements et aménagement de l’espace
Ministère de la Santé et des affaires sociales
16 - 17 septembre,Paris
Présentation
Pré-programme

4ème Congrès national de santé environnement
Cancer et Environnement : Approches interdisciplinaires, état des connaissances et implications sociétales

SFSE
28-30 novembre, Lyon
Informations et inscriptions

 

FORMATION

Approche globale et animation en éducation pour la santé environnementale
27 - 28 mai, Lyon
Objectif de la formation : développer les capacités des acteurs (professionnels et bénévoles) à intervenir sur la thématique "santé environnement"
Inscriptions

En Rhône-Alpes

Retour sur l’épisode de pollution atmosphérique qui a touché la région Rhône-Alpes
Air Rhône-Alpes signale que du 24 février au 6 mars 2013, la région Rhône-Alpes a connu un épisode de pollution aux particules fines (PM10) exceptionnel en raison des niveaux de pollution atteints sur l’ensemble de la région. La persistance de cet épisode (11 jours d’activation du dispositif préfectoral) s’explique par la combinaison de deux facteurs : des émissions de particules trop importantes en hiver sur la région et des conditions anticycloniques très stables défavorables à la dispersion des polluants. Le chauffage individuel au bois et les transports constituent les deux sources principales d’émissions de particules fines en Rhône-Alpes. Toutes les zones de la région ont été touchées, agglomérations, vallées alpines mais aussi zones rurales, ce qui est moins fréquent.
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Pollution de l'air : les élus du Pays du Mont Blanc veulent des mesures d'urgence
Dans un courrier adressé au Préfet de Haute-Savoie, Eric Fournier, maire de Chamonix-Mont-Blanc et président de la communauté de communes de la vallée de Chamonix-Mont-Blanc pointe les insuffisances du Plan de Protection de l'Atmosphère (PPA) entré en application en février 2012. Le maire vise tout particulièrement les mesures prévues pour limiter la pollution du transport routier en estimant qu'elles "ne répondent pas à l'urgence sanitaire".
Le maire veut aller plus loin en demandant l'interdiction "sans délai" de la circulation des poids lourds de classe euro 3 en transit transfrontalier et en installant un dispositif réglementaire de régulation/contingentement des circulations en cas de dépassement des seuils de pollution.
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Intoxications au monoxyde de carbone en Rhône-Alpes
En Rhône-Alpes, depuis le 1er octobre 2012 marquant le début de la saison de chauffe, 101 épisodes d’intoxication au monoxyde de carbone ont été signalés à la Cellule de l'Institut de veille sanitaire (Cire), exposant 385 personnes dont 283 ont été transportées vers un service d’urgence. Sur la période du 25 février au 10 mars (semaines 9 et 10), 9 épisodes ont eu lieu en Rhône-Alpes. Un épisode s’est produit dans une boulangerie intoxiquant 5 personnes dont le boulanger et son commis. Trois personnes ont été transportées vers un service d’urgences et deux ont été placées en caisson hyperbare. La fuite de CO provenait du four à gaz de l’établissement.
Accéder au document complet (point de situation du 14 mars)

Semaine pour une alternative aux pesticides de synthèse du 20 au 30 mars en Rhône-Alpes
Le réseau des producteurs bio de Rhône-Alpes participe à la Semaine pour les alternatives aux pesticides du 27 mars au 2 avril. Avec des soirées projection-débat organisées en Drôme et dans le Rhône,  l’ARDAB et Agribiodrôme donnent rendez-vous autour du film « Manger bio, c’est bon pour l’eau » afin d’aborder les questions des pollutions des eaux, leurs origines et leurs conséquences et les intérêts du mode de production agricole biologique.
Pour plus de détails, consultez le programme dans le Rhône (69) et la Drôme (26) sur www.semaine-sans-pesticides.com

Qualité de l’eau : prélèvements d’eau, artificialisation des rivières et pesticides en cause
Le rapport de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse, sur la qualité des eaux dans le bassin, fait état d'une situation qui s'améliore très lentement sur le plan chimique. Le rapport a été réalisé par l’Agence de l’eau sur la base de 3 millions d’analyses annuelles et réunit les données d’organismes partenaires (DREAL, ONEMA, IFREMER, conseils généraux, centre d’océanologie de Marseille et syndicat de la nappe Vistrenque). Le bilan  reste encore négatif: 40% des cours d’eau et 20% des nappes contaminés par des pesticides, dont certains sont aujourd'hui interdits. La substance herbicide glyphosate, substance active du Roundup,  arrive en tête des molécules  les plus retrouvées dans les rivières.  C’est le produit phytosanitaire le plus vendu sur les bassins Rhône-Méditerranée et Corse avec près de 4 000 tonnes commercialisées en 2009, 2010 et 2011  selon les données  de la banque nationale des ventes des distributeurs. L’Agence de l’Eau ne note aucune évolution  à la baisse. Ce qui est plus inquiétant, c’est la présence de  49 substances interdites de commercialisation en France  dans les rivières. Vingt substances interdites sont retrouvées dans les eaux souterraines. L’Agence a fait appel à l’INRA, à l’IRSTEA et au BRGM pour comprendre cette contamination. Les  études confirment l’existence de stocks de triazines (herbicide) dans les sols qui peuvent être relargués. Mais pour l'Agence, « rien ne permet d’exclure des usages actuels de pesticides interdits, surtout que les concentrations de la molécule mère ne baissent pas à certains endroits du Beaujolais et du Roussillon. »
Accéder au rapport de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse

Du nouveau sur le Web

Une nouvelle rubrique consacrée aux champs électromagnétiques
L’URPS Médecins de Rhône-Alpes a ouvert en mars 2013 la première partie d’une rubrique dédiée aux champs électromagnétiques (dans l'onglet Risques environnementaux). Les contextes d’exposition dans la vie quotidienne sont d’une extrême variabilité, les émetteurs d’une grande diversité, et ils connaissent des évolutions rapides qui rendent complexes les études épidémiologiques. De très nombreuses études expérimentales ont été réalisées, surtout avec les fréquences de téléphonie mobile et le Wi-Fi. Elles sont répertoriées et analysées dans les rapports d’expertises collectives. La nouvelle rubrique propose un état des lieux de la connaissance scientifique actuelle, références à l’appui. Les sources d’exposition domestique ont été évoquées en premier lieu. Cette rubrique doit être enrichie au fil des mois.
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Horizon Health : un nouveau portail web sur la recherche en santé européenne
Le portail web Horizon Health a été lancé officiellement par le Pr Anne Glover, Conseillère scientifique en chef de la Commission européenne, en présence des représentants de la communication des principales institutions de la recherche en Europe. Le portail web Horizon Health a pour objectif de devenir une source en ligne d’informations récentes concernant la recherche sur la santé financée par l’UE, à destination des journalistes et des citoyens d’Europe. Le projet CommHERE est pour l'instant l’un des premiers projets de communication à bénéficier d’un financement de l’EU dans le cadre du 7e Programme Cadre sur la santé. Il a pour objectif d’améliorer la diffusion des résultats des projets de recherche sur la santé financés par l’UE, principalement à destination des média et du grand public, dans l’Europe toute entière mais aussi au-delà.
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